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Entre les « négationnistes » qui nient l’existence d’enfants travailleurs et les « abolitionnistes » qui veulent abolir le travail des enfants, l’auteur se veut « réaliste » et propose des actions adaptées et réalisables afin d’améliorer la situation des enfants travailleurs dans les tiers mondes.
L’auteur pose la question délicate : les enfants travailleurs sont-ils prisonniers et victimes des cultures et religions autoritaires dominantes ?
Les monstres « ordinaires » sont nés dans des cultures de soumission à l’autorité ; sans doute ils se vengent de leur enfance et reproduisent la violence qu’ils ont subie quand ils étaient enfants. Comment briser ce cercle vicieux ? Comment trouver le passage vers ce Pays sans nom où l’on respectera les enfants ? Comment percer ce mystère, ce blindage du coeur de l’homme ? Il faudra peut-être « une révolution culturelle durable » fondée sur la résistance aux violences, aux silences, aux cultures et religions mortifères, non imposée par une dictature ou un quelconque régime autoritaire.
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