« Je repars sans savoir où je vais, léger comme une plume charriée par la brise du matin de ce printemps joyeux. Cette parenthèse de bonheur me confirme l’adage : “Tout vient à point à qui sait attendre.” Apaisé, je sillonne ce nouveau Paris méconnaissable, réfléchissant, sur les visages de tous les passants, une lueur de joie de vivre. Cela me suffit pour passer au moins les deux jours suivants sans réfléchir aux lendemains difficiles. »