" ... Poésie sortant de pensées s'égaye en ces vers, Comme marche une captive déchargée de ses fers. Elle était sans sa gêne, attractive et languissante, Libre elle est d'avant-garde, rêvée et bondissante. Elle aime mieux folâtrer toujours en serpentant, Par ces chemins rompus courir en s'ébattant, Elle aime plus embrasser vos yeux de sa verve Qu'offrir des balivernes aux signatures superbes. Suivez donc, ses pas, ses aimables détours. Laissez-vous mener où se conduit son cours. Dans ces rimes riches descendez avec elle, Où de mille autres livres l'unique muse l'appelle... " Arlette Ruiz