"Au pied des oliviers, sous un ciel à corbeaux,Dans la fosse ordinaire du royal oubli,Tu reposes, poète, au mystère accueilli,Tes rimes légères émergeant du tombeau.Au bord des précipices tu semas des fleursQue des oiseaux, distraits, conduisirent au ciel,Y firent, au zéphyr, une coulée de mielQui retombe aujourd'hui en rires et en pleurs."