Après la beauté du monde, la beauté du mot. Après l’amour de la nature, l’amour de la parole. Les poèmes évoluent, la chenille se métamorphose, les vers se font aériens. Et la beauté intérieure frémit, le désir se palpe, l’imagination se débride. Et les ailes de la création s’entrouvrent pour mieux nous illuminer. Avec toujours le même rythme aussi fluide et les mêmes allégories désarmantes, Claude Brunerie nous propose avec son nouveau recueil d’explorer non seulement le monde de la beauté naturelle et fulgurante,mais aussi et surtout de nous faire réfléchir sur la poésie en elle-même, sur le mythe de la création, sur le pouvoir des mots. Avec une nouvelle fois un succès indéniable et un sens du phrasé frappant.