"Sabine écoutait les explications de son guide avec intérêt, mais peut-être plus pour le guide que pour ce qu'il disait. Le parc, de 400 hectares clos de murs, une forêt pour les trois quarts, parfaitement ordonnancé autour de la demeure centrale et des magnifiques étangs où s'égosillaient des oies bernaches, semblait figé dans le temps. Ils passèrent plusieurs heures à arpenter les lieux; Sabine n'oubliait pas sa mission, elle voulait voir s'il existait des traces de pneus ou autres et Georges s'en amusait. Ils allèrent également à l'orangerie au bout du chemin dit de l'Astrée, près des dépendances, pour voir les pierres à bossages et les mascarons féminins du XVIe, toujours en place."
Roman acheté au magasin du château de Breteuil (un nouvel article sera bientôt publié dans la chronique des temps perdus, mon blog) lors de ma visite la semaine dernière. Je dois dire que je suis déçu...
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