"Je pare à gauche, à droite, je m'enroule autour de sa lame; nous sommes face à face, nos deux visages sont si proches que je sens son souffle saccadé. Il me pousse violemment de sa main gauche, mais en appui sur mes deux jambes je reste ferme et c'est lui, déséquilibré, qui recule. Ses assauts sont trop désordonnés pour ne pas m'offrir une occasion de le piquer et, au cinquième assaut, je l'embroche profondément au coeur. Son visage s'est alors détendu, et lentement il s'est laissé choir tel un foulard de soie sur un tapis d'Aubusson."