" j'aime ma solitude mon silence mon ennui aujourd'hui tout fait du bruit sauf un stylo qui glisse sur le bleu des nuits revenu parmi les vivants l'homme désarmé devient invulnérable l'homme nu habillé de tout les fantômes se réveillent tout au bout du poème " À la recherche d'indices susceptibles de le guider vers des encres sympathiques, Pierre Melendez découvre une enfilade de mots en liberté et les rassemble en illuminations noctambules.