Éliézer, héros de ce récit, vit dans une contrée où les difficultés sont multiples : économiques, politiques, sociales, pastorales, alimentaires, éducationnelles, morales, martiales, sanitaires ou liées au travail et à la cohabitation. Il se démarque de ce contexte vicieux où les pratiques avilissantes sont vécues aisément et couramment. C'est là où le mal a perdu sa hideur et le bien sa juste valeur ; une véritable illustration de la satire des moeurs. Ceci ne lui convient vraiment pas. Dans son impassibilité, il ne cède pas aux travers qui rongent sa société et son milieu de travail où ces pratiques indécentes ne devraient pas exister. C'est un fait curieux. Il brave cet entrisme et ces pratiques qui contrarient la bonne marche de sa société et de son milieu de travail. Éliézer est épris des vertus, d'entregent, de la probité et de la justice en vue d'un succès de bon aloi dans toutes ses actions, n'en déplaise aux diverses attaques de la racaille des savants inintelligents qui le traitent sans aménité.